La médecine douce peut être une excellente alternative à la médecine traditionnelle. Que soigne t-elle ? Oú trouver un praticien sérieux ?
La médecine douce, non conventionnelle et bien souvent non reconnue par la Sécurité Sociale, est un terme générique. En complément d’un traitement traditionnel ou pratiqué en prévention ou pour des affections mineures, elle peut se révéler efficace et bénéfique sur le long terme.
Médecine douce : définition
La médecine douce recense plusieurs disciplines, certaines plus établies que d’autres :
- L’homéopathie : des principes actifs de plantes concentrés
- L’acupuncture : des aiguilles placées à des points d’énergie du corps
- La sophrologie : des exercices de respiration, de visualisation
- Phytothérapie : des soins à base de plantes
- Hypnose etc.
Quelle reconnaissance pour les praticiens ?
Ces techniques sont développées par des praticiens spécialisés ou des docteurs en médecine qui ont choisi d’ajouter cette compétence complémentaire à leur expertise.
Ces disciplines sont en général régies par une Fédération Nationale ou une Association. Il est utile de consulter les annuaires qu’elles mettent à disposition pour vous assurer que le praticien que vous vous apprêtez à consulter est agrémenté et diplômé.
Les praticiens listés ont reçu une formation longue, sérieuse, reconnue par un organisme ou une école assermentée dépendante d’eux.
Quel type de maux soignent-elles ?
Ce type de médecine alternative et complémentaire est recommandé :
- En prévention : une routine régulière, des exercices ou des cures qui préviennent certaines pathologies
- En complément d’un traitement traditionnel (prendre un traitement homéopathique en plus d’antibiotiques par exemple)
- Lorsque la médecine traditionnelle n’est pas ou plus efficace (pour certaines pathologies de long terme)
Parmi les raisons les plus courantes de se tourner vers la médecine douce :
- L’arrêt du tabac : l’hypnose et l’acupuncture ont fait leurs preuves et ce, en un temps record
- La gestion du stress, le traitement de la dépression : le recours à la sophrologie et la mise en application d’exercices pratiques sont un bon moyen de le dominer
- Pour des affections chroniques comme les maladies de la peau et lorsque les traitements classiques ne sont plus efficaces, la phytothérapie
La médecine douce est aussi une bonne option pour les femmes enceintes, à qui la plupart des médicaments classiques est dommageable pour le bébé.
De même, les enfants qui souffrent de pathologies chroniques (fragilité du système immunitaire, affections pulmonaires à répétition) peuvent se tourner vers la médecine douce.
Dans tous les cas, pour des pathologies plus sérieuses, il est recommandé de consulter votre généraliste en priorité.
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